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Le 1er mai n’est pas une journée de festin

Les parades vestimentaires, les orgies de table n’y ont aucune partie liée. Après les différentes parades festives, les problèmes des travailleurs et les enjeux du secteur de l’emploi restent intacts.

Il s’agit de réfléchir et de trouver des solutions permanentes ou intermédiaires à l’équation du travail décent et démocratise.

Au Togo, l’artisanat connaît une crise qui ne semble inquiéter quiconque. Des patrons se retrouvent seuls dans leur atelier, très peu de jeunes gens acceptent aujourd’hui d’apprendre un métier. Certains métiers pourraient disparaître dans une perspective de demi-siecle,a cause aussi de l’extrême dépendance de l’économie et de la consommation locale au marché du petit prix et de la qualité approximative: Dubai, Beijing, etc

En outre, l’expansion du secteur de la friperie a bouleversé les paradigmes dans la couture.

Que dire des universités qui libèrent chaque année des milliers de citoyens qualifiés mais qui ne peuvent que se “débrouiller”?

Voilà des enjeux. Les parades et les orgies n’y feront rien.

Que fête-t-on au finish le 1er mai ? .

Texte consultable sur la page Facebook du journaliste Kodjo Avuletey

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